Page:Verhaeren - Les Rythmes souverains, 1910.djvu/134

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Les meubles chers voilaient les jeux de leurs surfaces,
Les divans clairs qu’elle évoquait — tels des témoins —
Changeaient leurs plis soyeux et boudaient dans leurs coins,
Et, vers le soir, dans l’ombre et l’horreur vespérales,
Les vents n’étaient plus rien que des pleurs et des râles.