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poèmes, iiie série

Roulent ce cœur, avec de lents remous
Et des hoquets, vers de grands trous.
Et certes, un soir, la lune enfermera
Ce cœur, malgré ses battements de haine
Comme une pierre en une gaine.

— Alors que le grand froid sauvage
Et, par la nuit, le vague effroi
D’un ciel plein d’astres en voyage,
Définiront ma mort, par cette image.