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du fort-youkon à port-clarence.

Arrivée au fort Noulato. (Page 179.)

avec son plus charmant sourire. Ce ne fut pas sans de visibles hésitations qu’ils lui prirent la main. Il en fut de même du tyhi et du magicien, qui eussent bien voulu connaître ce mystère, dont ils auraient pu tirer profit, — ce qui eût accru leur prestige au milieu des tribus indiennes.

Les préparatifs du départ étant achevés, M. Cascabel et les siens prirent congé de leurs hôtes dans la matinée du 4 août, et l’attelage,