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césar cascabel.

Jean avait pris la main de Kayette. (Page 206.)

ment, il aurait fallu que M. et Mme Cascabel eussent été aveugles pour ne point reconnaître quel sentiment elle inspirait à leur fils. Aussi commençaient-ils à s’en inquiéter. Ils savaient ce qu’était M. Serge, et ce que serait un jour Kayette. Ce n’était plus la pauvre Indienne, qui allait mendier à Sitka quelque place de servante, c’était la fille adoptive du comte Narkine. Et Jean se préparait de grands chagrins pour l’avenir !