Page:Verne - Hector Servadac, Tome 1.pdf/139

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pas un cri de terreur qui s’échappa de toutes les poitrines.

Une coupée de la falaise, large de quarante pieds au plus, venait d’apparaître entre deux murs à pic. C’était un refuge, sinon un passage. La Dobryna, évoluant alors sous la main du lieutenant Procope, poussée par le vent et la mer, s’y précipita !… Peut-être n’en devait-elle plus jamais sortir !