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Isac Hakhabut, permettaient de monter à bord. Comment ferait-il, si sa tartane s’élevait à une centaine de pieds en l’air ? Cela le regardait.

Une légère fumée bleuâtre s’échappait du tuyau de cuivre qui sortait des neiges durcies, accumulées sur le pont de la Hansa. L’avare brûlait son combustible avec une extrême parcimonie, cela était évident, mais il devait peu souffrir du froid. En effet, les couches de glace qui enveloppaient la tartane, par cela même qu’elles conduisaient mal la chaleur, devaient conserver une température supportable à l’intérieur.

« Ohé ! Nabuchodonosor ! » cria Ben-Zouf.