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le tabou à tonga-tabou.
Le Tongien détale avec une telle rapidité… (Page 291.)
nasale nommée fanghu-fanghu, plus une douzaine de nafas, qui sont des tambours sur lesquels on frappe à coups redoublés, — et même en mesure, ainsi que le fait remarquer Pinchinat.
Évidemment, le « très comme il faut » Athanase Dorémus ne peut qu’éprouver le plus parfait dédain pour des danses qui ne rentrent pas dans la catégorie des quadrilles, polkas, mazurkas et valses de l’école française. Aussi ne se gêne-t-il pas de hausser les épaules, à
