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où godfrey voit encore une légère fumée
avait été assez obligeant pour le leur envoyer par la voie d’un éclair. À eux maintenant le soin de le conserver !
« Non ! nous ne le laisserons pas s’éteindre ! s’était écrié Godfrey.
— D’autant plus que le bois ne manquera pas pour l’alimenter ! avait répondu Tartelett, dont la satisfaction se traduisait par de petits cris de joie.
— Oui ! mais qui l’entretiendra ?
— Moi ! Je veillerai jour et nuit, s’il faut, » riposta Tartelett, en brandissant un tison enflammé.
Et c’est bien ce qu’il fit jusqu’au lever du soleil.