Page:Verne - L’École des Robinsons - Le Rayon vert.djvu/197

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
185
réflexion surprenante de carèfinotu

Alors le coup partait et portait… (Page 186.)

tigres, des hyènes, des panthères, — pour le moins une vingtaine de ces féroces animaux ! À leurs rugissements, qui retentissaient au loin, d’autres fauves allaient sans doute répondre en accourant. Déjà même on pouvait entendre des hurlements plus éloignés, qui se rapprochaient aux alentours de Will-Tree. C’était à croire que toute une ménagerie de fauves s’était soudainement vidée dans l’île !

Cependant, sans se préoccuper de Tartelett, qui ne pouvait leur être bon à rien, Godfrey et Carèfinotu, gardant tout leur sang-froid, cherchaient à ne tirer qu’à coup sûr. Ne voulant pas perdre une cartouche, ils attendaient que quelque