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ce qui s’était passé.

« Cela est curieux », répondit le brigadier. (Page 168.)

encore entendre. En admettant que, pour une raison ou pour une autre, le départ du lieutenant n’eût pu s’effectuer avant l’orage, tout donnait à penser qu’il en attendrait la fin sous l’abri des arbres, dût-il même ne rentrer que le lendemain au campement.

« Et il est probable que nous ne le reverrons pas ce soir, fit observer le capitaine Hardigan. Si Villette fût parti cet après-midi vers deux heures, il serait maintenant en vue de l’oasis…