Page:Verne - Les Enfants du capitaine Grant.djvu/409

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
« C’est moi qui partirai, » dit Ayrton. (Page 403.)


— Oui, si le Duncan quitte Melbourne et rallie la côte est !

— Ah ! toujours le Duncan ! et en quoi sa présence à la baie nous facilitera-t-elle les moyens d’y arriver ? »

Ayrton réfléchit pendant quelques instants avant de répondre, et dit d’une façon assez évasive :

« Je ne veux point imposer mes opinions. Ce que j’en fais est dans l’intérêt de tous, et je suis disposé à partir dès que Son Honneur donnera le signal du départ. »

Puis, il croisa les bras.

« Ceci n’est pas répondre, Ayrton, reprit Glenarvan. Faites-nous connaître votre plan, et nous le discuterons. Que proposez-vous ? »