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les indes-noires.

« Simon Ford, tu m’as volé le dernier filon… » (Page 157.)


— Il faudra pourtant bien qu’il prenne son parti de cette union ! s’écria Harry. Si étranger qu’il soit à la vie commune, on finira bien par l’amener à reconnaître que la nouvelle existence de Nell vaut mieux que celle qu’il lui faisait dans les abîmes de la houillère ! Je suis sûr, monsieur Starr, que si nous pouvions mettre la main sur lui, nous parviendrions à lui faire entendre raison !…

— On ne raisonne pas avec la folie, mon pauvre Harry ! répondit l’ingénieur. Mieux vaut sans doute connaître son ennemi que l’ignorer, mais tout n’est pas fini, parce que nous savons aujourd’hui ce qu’il est. Tenons-nous sur nos gardes, mes amis, et pour commencer, Harry, il faut interroger Nell ! Il le