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rencontre.


On s’arrêta à la limite d’une étroite clairière. (Page 345.)

Le soir, on s’arrêta à la limite d’une étroite clairière. Elle avait dû être occupée quelques heures avant, ainsi que l’indiquaient, cette fois, des amas de cendres à peine refroidies, restes des feux qui avaient été allumés pour le campement.

On prit alors le parti de ne se remettre en marche qu’après la chute du jour. La nuit serait obscure. Le ciel était nuageux. La lune, presque à son dernier quartier, ne devait se lever que fort tard. Cela permettrait de se rap-