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sans dessus dessous.

— Vous mettre sur vos gardes !… Je viens d’être informée que, ce soir même… »

La phrase n’était pas encore entrée dans les oreilles de J.- T. Maston, que la porte de Balistic-Cottage était rudement enfoncée à coups d’épaules.

Dans l’escalier qui conduisait au cabinet, extraordinaire tumulte. Une voix objurguait. D’autres voix prétendaient la réduire au silence. Puis, bruit de la chute d’un corps.

C’était le nègre Fire-Fire, qui roulait de marche en marche, après avoir en vain tenté de défendre contre les assaillants le « home » de son maître.

Un instant après, la porte du cabinet volait en éclats, et un constable apparaissait, suivi d’une escouade d’agents.

Ce constable avait ordre de pratiquer une visite domiciliaire dans le cottage, de s’emparer des papiers de J.-T. Maston, et de s’assurer de sa personne.

Le bouillant secrétaire du Gun-Club saisit un revolver, et menaça l’escouade d’une sextuple décharge.

En un instant, grâce au nombre, il était désarmé, et main basse fut faite sur les papiers,