Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/155

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’il vnuocç. ’un ’ ça, soupira la Pomme-Rouge, sous le marteau, dont le coup déjà lancé ’faillit lui rompre la téte. ’ ’ — » Ne bouge donc pas, recommandzvavec É brutalité le serrurier de l’établissement. Toujours est-il, reprit le recéleur, que c’est lui qui ix a vendu la calebasse, ·et que sans lui.... · ’ - » :I’e tiendras-tu, matin ? gare à la cabo=· · che ! » · Ces mots furent les derniers que j’eutendis ; mais en m’éloignai1t, je vis, à certains gestes, que le colloque s’animait de plus en plus. Que se disaient-ils ? je n’en sais rien.