Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/192

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

au · utnoxnns ’

c’est vrai, avec lui il n’y a pas de plaisir, il ne croit à rien.

— » sa veux être la plus grande coquine qu’il ’ » n’y ait pas sous la calotte des cieux ; sur tout ce que j’ai de plus cher au monde ; sur la vie de mon enfant, que c’est un serment que je ne fais jamais ; que tous les malheurs m’arrivent si je lui parle de toi. » En même temps, retirant en avant le pouce de sa main droite, dont l’ongle engagé sous la rangée supérieure de ses dents, s’échappe avec un léger bruit..... elle ajoute, en crachant et se signant à la fois., Tiens, Jules, c’est sacré ; ainsi, tu vois, c’est comme si le notaire y avait passé. » u Pendant cet entretien, notre chopine avait été plusieurs fois renouvelée ; plus nous buvions, plus la Pénélope de Hotot devenait pressante, et me protestait de sa discrétion. ’ « Voyons, mon petit Jules, quéque ça te fait ? Quand je te promets qu’il n’en saura rien. — » Allons, t’es si bonne fille, que je vas te dire. tout ce qu’il en est ; mais t’es avertie, ne mange pas le morceau, sinon gare à toi, au je t’en voudrais à la mort ; Hotot est mon n ami, entends-tu ? A

u — » Il n’y a pas de risques, et quand on