Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/238

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Qîik’ntnoxnng la porte, j’aperçois, incrusté dans le mur, un débris de miroir, tel qu’il s’en trouve dans la plupart des corps-dc-garde, pour la commodité des fashionnables de la garnison, j’appelle Boucher, et lui montrant le débris réflecteur : ’ Tiens, lui dis-je, c’est par ici qu’il faut re’ ’  » garder. » Il regarde, et se tournant de mon côté : « Ah ! ça, Jules, tu blagues, je ne vois que toi zet moi dans c’te glace, mais l’arrêté, où qu’il est l’arrêtéP · — » ’Apprends qu’il n’y a personne ici d’ar==· rêté que toi :, tiens, voilà le mandat qui te concerne. ’ — » Ah ! pour ça, c’est un vrai tour de gueusard ! ’ — » Tu ne sais donc pas que dans ce monde ciest au plus malin. -+— » Au plus malin, tant que tu voudras, çaw ne te portera pas bonheur, de monter des si coups à de bons enfants. » ’ ·. Lorsque la voie pour arriver à une décou-verte importante était hérissée de difficultés, les voleuses m’étaient peut-être d’un plus grand A secours que les voleurs. En général, les femmes ont des moyens de s’insinuer qui, dans les exploi rations de police, les rendent bien su périeurcs