Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/327

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il rvanooq. ’au J, Je vous demande pardon de vous avoir dé’ » rangé ; vous êtes monsieur Vidocq ? c’est à Q monsieur Vidocq que j’ai l’honneur de par-. lei’ ?. ’ — » Oui, madame ; que puis-je pour votre service ? · B —’ » Beaucoup, monsieur ; vous pouvez me J »’rendre l’appétit et le sommeil... Je ne dors plus, je ne mange plus... Qu’on est malheureuse d’être sensible ! Ah ! monsieur, que je plains les personnes qui ont de la sensi-· ’ bilité ; je vous jure, ’c’est un bien triste préuas sent que le ciel leur a fait- là !...... Il était · si intéressant, si bien élevé...... Si vous l’aviez connu, vous n’auriez pas pu vous empêcher · de l’aimer...... Pauvre Garçonl...... · I — » Mais, madame, daignez vous expli= quer ; peut-être me faites-vous perdre un ’ 1 : temps précieux. I - » Il était ma seule consolation...... — ix Enfin, de quoi s’agit-il-P n ’ ·— » Je n’aurai pas la force’de vous le dire. (Elle fouille dans son sac ; d’où elle tire un imprimé qu’elle me remet en détournant la · Yue). Lisez plutôt.. ’r D, — u Ce sont les’Petites- Ailiehes que vous 2 1