Aller au contenu

Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/116

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

ins uiimornni p

bottes. de cambrioleurs furent plus enti-epre—« riants’et doués de plus de persévëranceë un jour il luivint à l’idée de’voler une riche veuve qui demeurait à Saint-G·ermain-en-Laye, rue du’ Potcaugfuré : d’abord explore les approches de la place, et cherche’vainement à s’y i’nt.ro-¤· ; ’duire. Il excellait ·à li—1briquer’les~ fausses clés ; c mais les fausses Qés ne se font pas au et il ne peut même parvenir à sé procurer’l’omlJre d’une empreinte. Deuxmois se passent en tenta— · tives infructueuses : tout autre que Capdeville abandonnerait uneentreprisè q ui présente tant de difficultés 5 Ca pdeville s’est-dit :· je réussirai, et il neveut pas en avoirle démenti ; Une maison contiguë à celle de la veuve est occupée par un loca, taire, il projette de faire expulser celui¤-ci, et il manœuvre si bien, que bientôt il est installé à sa place. Monsieur Fierpal est le nouveau voisin de la veuve : peste ! se dit, ·~on dans l’endî·oit, ce n’est pas comme son prédécesseur, il est magnifique- · ment meublé, l’on voit bien que c’ost quelqu’un comme’il faut. Il y avait environ trois semaines qu’il était emrnénagé ; lorsque la —v*oisi¤ne, qui n’avait pas pris l°àir depuis longetenips, se =pro ;=· \ posa de faire une petite-promenadezelle va dans t le parc, acco mpaghée de Marie-, sa fidèle dos