Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/170

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au timex Il paraît tout de même que ce n’est pas pour la frime. j - » Pince-la un peu. ’ — » Ab ! bien oui, j’ai beau pincer, il n’y a plus personne. Quoil elle aurait tourné de Pœill pas ’n in Possiblel — » Parole d’honneur, elle est crevée. — » (Riant.)Ahlal1 lab ! pour le coup, la farce est unique. q — » Comment, elle nous aurait joué un tour pèreill ’ ’ —¢- » Il n’y à F..... pas de quoi rire, nous voilà dans de beaux draps avec cette charogue. ’ · —· » Bahl’bab ! tu vois de l’embarras où il n’y en a pas ; on la dépose à la Morgue, pas plus géné que ça (il appelle) ; cocherl -··· ’ » Non non, il n’y a qu’à la conduire au sa poste le plus près. ’ ’ ’ —· i> C’est juste, nous dirons que nous’Pavcms recueillie dans la rue-, par humanité ; après cela, ils s’en arrangeront comme ils pourront, ’ ça ne nous regarderai plus. · · - » Je sais bien, mais qui paiera la course ? ’ — sx Ah ! diable, je n’y avais pas réfléchi. D’abord ce n’est pas moi.