Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/180

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un nismnnma ’ ’ ADELE. » Uni, c’est pour tdi. · · · Svslmnn (Elle prend le pain, l’examine, le goûte). » Du pâté, c’est de chez Lesage ; la croûte en est délicieuse (Elle mange avec voracitê UN nas SOLDATS (à son camarade). » Que je voudrais être riche !... e. LE Psmsmm. » Et moi !... Quand ce ne seserait que pour faire du bien à des gens · comme cal". ça me brise le cmur ; tiens, A viens-t-en. Avez-vous par là une lampe oude la chandelle ; que je vous l’allumeP ag L FnÉnÉmc. » De la chandelle, quand il-n’y a · pas de pain dans une maison l. Ln PARISIEN. » Si nous leur laissions notre bout ? · ’ L’AU·1·nE SOLDAT. » Tu as raison, le caporal ne dira rien. LE Puusxnu. » Eh bien ! va pour le bout. Adieu les amis, tâche ; d’être plus heureux. A1>L1r.. » Ah ! je rfoublierai jamais ce que vous avez fait pour moi. · L1-: PA1us1EN. » Adieu, adieu... A revoir. L’AU·rnE sor.nA·1·. ·. » Ah ! sauvons-nous ! mi’ » sère et compagnie ! » LE Panrsmu. » Chut, chut, quand nous $cI’011$ del10itS... »