Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/194

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un, llqeilln demande demoiselle Marie, c’est du caveau du fond ? n -·- » Oui, du eavœu de la comète. — » A la bonne heure. J Savez-vons-qu’il diminueàforce d’en boire ; ahl s’il plaisait au Seigneur nous envoyer enn eoreun astre. » Il se redresse comme oflïuqué par l’aspect d’un visage étranger, et considérant Adèle. « Je ne connais- pas madame ?— » Madame voudrait. voir M. le eure. — ’ ». Monsieur le curé ; ah ! il a bien d’autres chiens à fouetter... (à Adèle) ; vous ne pouviez, madame, prendre plus mal votre temps, ix M. le curé ne sera pas libre de toute la jour- · née... ; nous avons à dîner MM. de la Fabrique et les Pères de la Mission, et vous sentez ’ » que lorsqu’on est en galas (avec un air aimable), on sait bien quand on commence, ’ mais on ne sait jamais quand ça finira". ; au \ surplus, que voulez-vous à M. le curé ? ètesvous une de ses oiiailles ?- »’ Je ne sais pas monsieur. — » Et qui le saura si ce n’est vous ? Diantre, diantre..., oui, oui (il bredouille), ah ! je vois, je vois, ce n’est qu’à lui’que vous en avez... ; aussi bien je n’aui•ais pas le loisir de