Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/198

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’ » cela ; ensuite, nous sommes plus largement ’ » rétribués que som son prédécesseur. Pour sa celui—là, Dieu veuille avoir son amel Il avait toujours à ses trousses un tas de pauvres, de. fainéants, de rien qui vaille ; pour leurs beaux yeux, il nous mettaità la portion congrue. Il nous aurait mis à la paille... Et lui-même, ’ il se refusait tout, on n’est pas bourreau de sa personne à ce point ; le dernier des maçons vivait mieux que lui. S’il avait oséqije crois que, pour leur faire plaisir, il se serait volonàé tiers laissé tout nu et les manches pareilles : charité bien ordonnée commence par soi ;. I  » même et par ses proches. D’ailleurs le cheflde la paroisse doit avoir de la représentation ; en bien ! il avait l’air d’un grigou’ ; une soutane râpée, un vieux chapeau, des surplis pleinsde reprises... On lui aurait mis un liard dans la main, on n’en aurait pas donné un ’ de toute sa défroque, et il’était chien avec nous, comme si les premiers pauvres n’étaient I » pas dans l’église : c’est -tout dire, c’était’un janséniste : il était question de Yélever à l’é·· piscopat ; je plains le diocèse qui l’aurait eu ; une Huxion de poitrine, qu’il a attrapée en allant, pendant une nuit d’hiver, porter