Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/239

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un vxnocç. au cours.... O la malheureuse !... Henriette, arrache-lui le soufflet. HENRIETTE (pleurant, jetant les hauts cris et sanglot tant tour à tour). « A l’assassin, à la garde". Ils veulent nous faire mourir... Ah ! que je suis à plaindre... Que je suis à plaindre... Seigneur, mon Dieu !... Jésus, ayez pitié de moi... Mon Dieu ! mon Dieu !... Mon Sauveur !... FnÉnÉmc (s’élançant vers la porte, qui est entrebâillée, la ferme à double tour, et met la clé dans sa poche). « Actuellement, criez tant que vous voudrez ! Avec leurs lamentations, —elles appeler aient les voisins. Les femmes ! les femmes ! on ne peut rien faire avec les femmes. Je vous demande pardon, mam’selle Adèle, ce n’est pas pour vous que je dis ça, c’est pour ces poules mouillées ; ça ne >>’sait que pleurer et voilà tout ; et parbleu ! la mort, ne dirait-on pas que c’est la merà boire, la mort P Quand on est mort... HE1~m11 ;·1·’1·1· ; (se jetant au cou de Frédéric tandis que Suzanne, qui s’est emparée de ses. mains, les arrose de ses larmes}. « Frédéric, cher· ami, je t’en supplie ! ne suis-je plus, ton Henriette ? · ’