Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/248

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un xiuomnsi réchauffe-moi, je suis transie. Ferme donc la croisée ; es-tu fou P Qu’est-ce que ce feu ? » Tandis qu’étonnée de ce qu’elle éprouve, Henriette est encore hors d’état de rattacher le moindre souvenir à ce qu’elle voit, Adèle et Susanne, qui ont été plus promptes-à recouvrer la mémoire, contemplent d’un œil sec et morne le brasier auprès duquel elles se sont traînées. ADELE. « Est-il possible ?... vous le voyez, nous voulions mourir.... nous ne le pouvons Pas. ’ SUSANNE. » Le ciel en est témoin. FnÉnÉmc. » Notre heure n’était pas venue. Aniau :. » Il faut le croire... Il mourra plutôt un bon chien de berger.-SUSANNE. » Une mère qui fait faute à ses Cnfantâ. F11ÉnÉmc. $> Après nous, nous ne laissions personne ; point de marmaille.. H1 : u1un·1°1·E. » De la graine de malheureux I Il n’y aurait plus manqué que ça. FIlÉDÉRIC· » Nous voilà bien avancés...’ Que nous a servi tant de précautions ? Annu :. » Ne m’en parlez pas, je suis d’une rage.