Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/256

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ne nâmoxnns, comme des bijoux ; nous sommes les maîtres, nous en aurons, et pas plus tard qu’aujoursa d’hui. » ’ \ · (Retroussant sa robe par derrière, et considérant le délabrement de sa chaussure, elle chante et danse.en même temps.) · Tu ne vois pas, ma chère, · Ellen, elle à I I ’ Des trous à ses bas, ’ I. Et moi je n’en ai guère ; Elle a, elle a Des trousàsesbas, Et moi je n’en ai pas ! ’ Fmêneiuc. » Je ne l’ai jamais ·vue comme ça, SUSANNE. » Ni moi non plus ; elle saute, oh E bien sur nous aurons de la pluie. ’ FRÉDÉRIC. » Ah çal Vous êtes gaie comme un pinçon, qu’est-ce que cela signifie ? ’ ADÈLE. » Cela signifie que pendant que vous. dormez je fais mes coups à la sourœline ; soyez tranquilles, mes enfants, nous en au’ >= rons de cé beurrel Il y a gras, allezl vous yoyez ces clés, elles ouvrent une porte... SUSANNE. » Mais ne nous fais donc pas lan- ! •> guir, nous sommes sur les épines ; tu Vois bien que Frédéric se meurt de saVoir., .,