Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/269

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La fruitière descend avec rapidité ; elle n’est pas encore dans la rue, que le pêne, par un double tour, est bruyamment arraché de la gache. Mf¤¤ Lomann. « Elle rêve la serrure ! M. Lousann. » Il y a’quelqu’un, nous sommes volés, au voleur ! au voleur ! n’ Soudain la porte s’ouvre, deux personnes s’élancent ; écartés, repoussés, culbutée, M. et madame Lombard, roulent de marche en marche ; sont-ce des fantômes, un ouragan, une (lébacle qui lesientraînent ? la bourrasque la été- si rude, le choc si impétueux, qu’ils ne savent à ’quoi attribuer la brutale impulsion qu’ils viennent de recevoir ; la cause a disparu, mais —l’effet subsiste, et les deux époux renversée déplorent ’ leur catastrophe.

M. Lomnann. « Aie ! aie ! je n’en puis plus, je suis meurtri, moulu, brisé, massacré, as’ » sommé, ·aie !aie !. ’si

Mme Lomann. » A l’assassin ! à l’assassin ui au secours !... Je le tiens, aidez moi, M. ’ »- Lombard, aidez moi.

M. Loumnn. » mon Dîeu, aie, je ne sens plus mes reins". ; ils’me les ont cassés, les misérables ! et le verre de ma montre qui »’l’est aussi, et’mes lunettes, et mon bandage...