Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/42

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iCUmÉcoNnn. iv Blond d’Ègypte. Il était roux comme une carotte. ·

LE CHEVALIER· » C’est possible ; mais ce h’est pas là l’important. que tnonsieiîr a besoin’de. savoir, c’est qu’avant le ivol’je Yappelais Laurent, et il doit encore répondre n à ce nom, s’il n’en a pas pris un autre. ’ ’Moï. ’ » Ceci’est fort juste ; de Lapah — »i lisse n’aurait pas’mieux dit. ’Éependant, · vous conviendrez que, pour ma guider dans mon exploration, quelques donnéèsun peu »S"·moins vagues ’, me seraient indispensables. ’î lLE CHEVALIER. » Je ne saurais vous en’ap* » prendre davantage. Mais, à ’mon compte’, ’ » cela doit vous suffire, ’avec un peu d’adresse in îvos- hommes m’auront promptement fait’i-ail· ’ »· son*î·h1·drôle, ils sauront bientôt où il est à I î ridé penser mon argent. ·=··· · " " ’ ’ ’· ?MoIl·’n Je serais-in’fixiiment·’ilatti§ ’depouë = »=·*·voir—’vous être agréable ;· ·mais sur d’aussi ’br’fail’iles-i1ïdi(: es, comment voulez-vous que je ’ » ’nïembarqùelî · ·’ ’ ’· ’ ’ ’ ; ’ " ’LE:::Gl*lEÉ ;KIlIERi.· sa :Pourtant j’arrive’ici’avec des renseighements’telleÈneht’·positifs, ° ; que liJ~"01oùs’n’awez·, E il ine- semble, qu’â· vouloir : c’est de la besogne toute màcbëe *que je vous u U  ;·.. ’ · Y