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MÉMOIRES PHYSIOLOGIQUES.

A. Sensations.
Sur la nature, la formation et les usages des pierres qu’on trouve dans les cellules auditives des Poissons.

Mém. du Mus., XI, 241 ; et extraits, Bull. philom., année 1824, 124 ; Bull. des sc. médic., III, 9 ; et Journ. univ. des sc. médic., XXXVI, 112 ; 1824.

Lettre sur l’audition des Poissons.

Ann. des sc. nat., II, 255 ; en grande partie réimprimée, Journ. univ. des sc. médic., XXXV, 248 ; 1824.

Sur la lésion de la base du nerf trijumeau, ayant anéanti l’action des sens sur l’un des côtés de la tête.

Rev. encycl., XXIV, 429 ; 1824. — Observation faite par M. Serres.

Mémoire sur la structure et les usages de l’appareil olfactif dans les Poissons, suivi de Considérations sur l’olfaction des animaux qui odorent dans l’air.

Ann. des sc. nat., VI, 323 ; 1825. Extraits, Arch. gén. de méd., X, 121, et Bull. des sc. médic., VIII, 255 ; 1826.

L’auteur, qui présente aussi quelques considérations sur les organes de l’olfaction chez les Cétacés, décrit l’organe branchiforme des narines du Congre, et établit que l’organe olfactif des Poissons présente, séparées et jouissant de fonctions distinctes, les parties qui, chez les Vertébrés aériens, se trouvent confondues dans la membrane pituitaire.

Sur une des fonctions du cervelet.

Bull. des sc. médic., XIII, 8 ; 1828.

L’auteur considère la concordance entre la conformation du cervelet et celle des oreilles chez les Monstres, comme une confirmation de l’opinion de Willis, touchant l’influence du cervelet sur l’audition.

B. Locomotion.
Des usages de la vessie aérienne des Poissons.

Ann. du Mus., XIII, 460 ; 1809.

Ce Mémoire, dans lequel l’auteur rappelle quelques travaux inédits, faits antérieurement par lui sur le même sujet, est consacré à l’explication du mécanisme, par lequel les Poissons produisent à volonté la dilatation de leur vessie aérienne, et par suite la diminution de leur pesanteur spécifique.