Page:Vielé-Griffin - La Clarté de vie, 1897.djvu/233

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Les pétales neigeant leur frêle mort ardente,
De tes cheveux tout d’or limpide comme un vin,
Vers le pli et les fleurs de ta gorge prudente…

Oh qu’il sache, entraînant d’un geste surhumain
La joie de ta beauté vers l’éternel demain,
Lever le rythme ardent que ta pudeur avive,
Comme une torche claire et sûre, et que l’on suive ! »