Page:Vielé-Griffin - Plus loin, 1906.djvu/18

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Car l’heure est frêle et mouillée
Comme un reflet de fleur au fleuve,
― Voici la fleur effeuillée :
L’eau verte est à jamais neuve ―

Ô douce vallée, tu rêves :
Ton rêve est l’éternité ;
Que me prends-tu mon heure brève
Et ma force et ma volonté ?