Page:Villiers de L’Isle-Adam - Derniers Contes, 1909.djvu/402

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divin ! — Chantez, pour elles, guerrières, et vous, ô chers guerriers ! l’hymne du Yadjnour-Vêda, la parole du Bonheur ! Que l’Inde, sous mon règne, hélas, enfin à ce prix pacifiée, refleurisse, à l’image de son lotus, l’éternelle Fleur !… Mais qu’aussi les cœurs se serrent de ceux dont l’âme est grave : car une grandeur de l’Asie s’est évanouie sur cette pierre !… La sublime race d’Ebbahâr est éteinte. »