Page:Villiers de L’Isle-Adam - Isis, 1862.djvu/71

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pour chacun de ses hôtes ; sa beauté orientale s’encadrait dans cet entourage resplendissant et avait cela de particulièrement sympathique, même pour les femmes, qu’elle n’excitait aucune mauvaise arrière-pensée d’envie ou de haine. La fête passée, on parlait d’elle dans tout Florence, quelque temps, — mais seulement comme d’une patricienne libre et paisible, décidée à garder noblement sa paisible liberté. »