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CENDRES ET POUSSIÈRES
Le vent rude des mers rugueuses
Ne souffle point la guérison…
Ah ! le parfum, ah ! le poison
De tes lèvres, fleurs vénéneuses !
Tu viens troubler les fiers desseins
Par des effluves de caresses
Et l’enchevêtrement des tresses
Sur les frissons ailés des seins.
Ta beauté veut l’attrait factice
Des attitudes et du fard :
Tes yeux recèlent le regard
De l’éternelle Tentatrice.