Page:Vivien - Haillons, 1910.djvu/89

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
85
APPEL


Que dans ce crépuscule où s’enlise l’effroi
Quelqu’une vienne enfin pour me sauver… À moi !…

Lasse des faux baisers et des paroles creuses,
Que surviennent pour moi des heures moins fiévreuses !

Lasse de tous ces jours qui ne sont pas meilleurs,
Que je m’en aille enfin n’importe où, mais ailleurs !