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ANNÉE 1767


corrigez :

Sur un coursier superbe à nos yeux se présente…

N. B. L’olivier n’est point symbole en Perse ; et s’il l’est, on ne doit pas dire : Viens-tu nous insulter…[1].

Même scène, mettez :

Son adorable fille… [7 vers.]

Acte II, scène i, corrigez ainsi :

OBÉIDE.

Après mon infortune… [9 vers.]

OBÉIDE.

Hélas ! veux-tu m’ôter, en croyant m’éblouir,
Ce malheureux repos dont je cherche à jouir.
Au parti que je prends je me suis condamnée.
Va, si j’aime en secret les lieux où je suis née,
Mon cœur doit s’en punir : il se doit imposer
Un frein qui le retienne, et qu’il n’ose briser.
N’en demande pas plus. Mon père veut un gendre ;
Il ne l’ordonne point, mais je sais trop l’entendre.
Le fils de son ami doit être préféré…

Acte III, scène i :

Commencez cette scène ainsi :

ATHAMARE.

Quoi ! c’était Obéide… [4 vers.]

Même scène :

Elle aura rassemblé… [4 vers.]
Croyez-moi, les sanglots sont la voix des douleurs,
Et les yeux irrités… [5 vers.]
Hélas ! s’il était vrai ! Tu me flattes peut-être.
Ami, tu prends pitié… [3 vers].

Cette même scène doit finir ainsi :

HIRCAN.

Marche vers la cabanOui, seigneur, Obéide
Marche vers la cabane où son père réside.
Je l’aperçois.

  1. Cette note est en marge de l’original, où elle est suivie d’une seconde, écrite d’une main différente : « Pourquoi avoir rétabli dans l’édition de Genève l’olivier à la main, etc. » ?