Cette page n’a pas encore été corrigée
VARIANTES DU DÉPOSITAIRE. 47’, >
Page 440, vers 27 :
J’ai fort bien rcussij Je crois que mes bêtises Des plus grands libertins égalent les sottises ; Je suis, sans avoir tort, do tout point confondu ; C’est là payer l’amende ayant été battu. Un bavard d’avocat, etc.
Page 471, vers 21. — Les éditions données du vivant de l’auteur portent : Adieu, vilain mâtin, qui m’en fis tant accroire.
Dans quelques éditions récentes on lit : Adieu, vil imposteur. (B.)
FIN DES VARIANTES DU DÉPOSITAIRE.