Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome6.djvu/578

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

VARIANTES

DE LA TRAGÉDIE DES GUÈBRES.

Page 510, vers 16. — Une version, qui probablement n’était pas la première, et qui se trouve dans la lettre à d’Argental du 21 décembre 1768, porte :

Nous sommes ses soldats, j’obéis à mon maître. (B.)

Ibid., vers 18. — Ce verset les trois suivants furent ajoutés dans la troisième édition. (B.)

IbicL, vers 22. — Dans la lettre du 21 décembre 1768, on lit :

Les pontifes divins des peuples respectes, Condamnent tous Torgueil, et plus les cruautés. (B.)

Page 511, vers 4. — Dans la même lettre, il y a :

Des droits que Rome attache. (B.)

Page 527, vers 11. — Toutes les éditions de 1769 portent

CÉSÈN’E,

Mon frère, je le vois, ce pas est dangereux.

IRAUAN.

Ne nous flattons jamais de l’emporter sur eux.

G É s È N E.

Mais sauvons l’innorenco.

1 R A D A N.

Écoutez : Apamée. Le texte actuel est de 1771, tome XVIII de l’édition in-4o'. (B.)

Ibid., vers 14. — Dans la lettre à d’Argental, du 11 septembre 1769, l’auteur proposait de mettre :

Ils ont, pour se défendre et pour nous accabler,

César, qu’ils ont séduit, et Dieu, qu’ils font parler. (B.)