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DEUX MOTS A M. KOTZEBUE,
PAR LE TRADUCTEUR,
EN MANIÈRE DE DÉDICACE.


MONSIEUR,


Qui bene amat, bene castigat, (qui aime bien, châtie bien) dit un ancien proverbe latin que sans doute vous connaissez tout aussi bien que moi.

C’est d’après cette vérité, reconnue ,de temps immémorial, que j’ai cru, malgré l’usage constant qui veut qu’un traducteur soit 1 admirateur servile de celui dont il transporte l’ouvrage dans sa langue devoir ajouter des notes à ma traduction, à mesure qu’un passage de votre livre m’en a fourni l’occasion, ou que j’ai