Page:Wagner - À Mathilde Wesendonk, t1, 1905, trad. Khnopff.djvu/10

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Observation préliminaire.


Le Maître avait exprimé le désir que ces pages fussent détruites.

Madame Wesendonk ne se considérait pas comme ayant des droits exclusifs sur les lettres qui lui avaient été adressées. Elle les conserva en silence, pour la Postérité, les destinant à être publiées, un jour.

D’accord avec la famille Wagner, le fils et le petit-fils de la défunte ont décidé d’attribuer le produit de la publication à la « Stipendienstiftung » de Bayreuth.