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Saluez également Myrrha.[1] Au revoir et gardez votre sérénité.
Londres, 30 Avril 55.
7.
[8 Juillet 1855]
J’ai bien peur de voir mourir aujourd’hui mon bon, vieux, fidèle ami — mon Peps.[2] — Il m’est impossible d’abandonner la pauvre bête mourante. Serez-vous fâchée si nous vous prions de dîner sans nous. Nous restons en tout cas jusqu’à mercredi : ce ne sera donc que partie remise.
Sans doute, vous ne vous moquerez pas de mes pleurs !
Votre
R. W.
Dimanche matin.
8.
Très chère amie,
Ma femme me fait part d’une heureuse idée qui me décide à solliciter de vous une grande faveur.
Il s’agit de tâcher encore d’obtenir en location la propriété Bodmer,[3] à Seefeld près de
- ↑ Fille de Mad. Wesendonk.
- ↑ Le chien de R. Wagner. Voir Glasenapp, II, 2, 99. Pour compléter cette lettre voir aussi les lettres à Otto Wesendonk, des 21 Mars, 5 Avril et 21 Mai 1855. Pour le séjour à Londres, voir Glasenapp, chapitre III, II, 2.
- ↑ Voir lettres à Otto Wesendonk, des 29 Juillet, 7 Août, 1er et 10 Sept. 1856.