pereur Othon à Florence » etc, vaudrait-il la peine d’être lu.
Les traductions de Richard[1] aussi me paraissent dignes d’intérêt en ce qui concerne le sujet traité.
Pensons encore aux Nouvelles de Cervantes ; je les ai déjà possédées un jour.
Pour le reste j’ai assez de ma provision pendant quelque temps ; je — lis peu.
Merci beaucoup pour Iphigénie.
Ci-joint quelque chose de Strasbourg,[2] mais pas du pâté de foie gras !
Salut au nom de notre Dieu !
Nous voyons-nous ce soir ?
49.
Ma pauvre femme est tombée gravement malade ; donc j’accepte l’invitation pour demain pour moi seul.
Probablement ne serez-vous point chez vous aujourd’hui, sinon je serais venu le soir.
Chez moi tout est triste et gris, malgré l’aspect extérieur de plus en plus joyeux des chambres.
- ↑ C. Richard. Poèmes romantiques de Lope de Vega (1824/28).
- ↑ Progamme de la représentation du 15 Janvier, au théâtre de Strasbourg : « Aujourd’hui le Fou par amour par MM. Bourgeois et A. Dennery. Le spectacle commencera par l’Ouverture de Tannhäuser, musique de R. Wagner. »