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Page:Waldor - Charles Mandel, volume I, 1846.djvu/44

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— 3G — Le capitaine fronça les sourcils et dit d’une voix sévère : — Tu ne ments pas ? —Je ne ments jamais, capitaine. — Le nom de ton père ? — Mandel. — J’ai un souvenir confus de ce nom... n’était-il pas de Nantes ton père ? — Oui, capitaine, il servait dans l’armée de la république. — C’est juste, le capitaine Mandel !... je me souviens... oui, je me souviens à présent. .. je me suis trouvé avec lui peu de temps avant sa mort... C’était un brave ; touchez là, mon ami... Et M. Murvil tendit sa main au jeune