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AVANT-PROPOS

Lassé et quelque peu désabusé de la politique, J.-J. Weiss, le lendemain de la chute du ministère Gambetta, était retourné silencieusement et modestement à ses études et à ses livres.

Quelques mois plus tard, fortement sollicité par un grand journal, le Journal des Débats, auquel le rattachaient de précieuses amitiés et de retentissants souvenirs, il accepta d’y faire la critique théâtrale du lundi.

Dans ses feuilletons, J.-J. Weiss, entraîné par le côté humoristique de son esprit, par sa fantaisie, son sentiment, son goût éminemment français, par son érudition si variée et toujours si