Page:Wilde - La Maison de la courtisane, trad. Savine, 1919.djvu/117

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Oh ! tant mieux pour qui vit dans l’aisance, avec de l’or accumulé, dans un vaste domaine, et n’a cure de la pluie qui éclabousse, et du fracas que font en tombant les arbres de la forêt.

Oh ! tant mieux pour qui ne connut jamais le labeur des années de privations, un père dont la douleur et les larmes ont fait grisonner les cheveux, une mère pleurant dans la solitude.

Mais tant mieux pour celui dont le pied a foulé la pénible route du travail et de la