Page:Wilde - La Maison de la courtisane, trad. Savine, 1919.djvu/189

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Va, petit livre, à celui qui sur un luth aux branches de nacre, chanta les pieds blancs de la jeune fille aux cheveux d’or, et invite-le à regarder dans tes pages ; peut-être verra t-il, en toi, danser de jeunes filles aux cheveux d’or.