Page:Wilde - Le Portrait de monsieur W. H., trad. Savine, 1906.djvu/227

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Et Il vint à lui et toucha les longues boucles de ses cheveux et lui dit :

— Pourquoi pleurez-vous ?

Et le jeune homme releva la tête pour le regarder et Le reconnut et Lui répondit :

— Un jour que j’étais mort, vous m’avez fait me lever d’entre les morts. Comment ferais-je autre chose que pleurer ?