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VI

SUITE DE LA PREMIÈRE NUIT D’AMOUR


Il s’était ostensiblement dépouillé de son caleçon vierge et de ses deux chaussettes radieuses. De tous ses fameux dessous, il n’avait gardé que sa flanelle immaculée, et il allait se précipiter vers le lit où s’allongeait la comédienne, nue, les pieds croisés, la nuque appuyée sur ses mains ouvertes, attitude qui avantageait ses seins, d’ailleurs restés fermes, et beaux.

— Vous y tenez beaucoup ? interrogea-t-elle.

— Comment, si j’y tiens !…

— Sans ça, je vous aurais prié de l’enlever ?