Page:Yver - Les Cousins riches.djvu/169

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IV

Le mercredi suivant, comme l’auto ramenait de l’usine les cousins riches pour le déjeuner, Samuel dit en sautant à terre :

— Monsieur Martin d’Oyse, mademoiselle Natier vient de me prévenir que notre architecte a téléphoné ce matin, annonçant sa visite pour l’après-midi. Si vous le permettez, nous redescendrons de bonne heure afin d’être sûrement présents.

— Que vient faire ici cet architecte ? demanda l’insouciant M. Xavier.

— Nous l’avons invité, reprit Samuel. Il s’agit des travaux d’agrandissement de la filature.