Periochae
Œuvres de Tite-Live
SOMMAIRE. — César, après avoir assuré la paix de l’empire et réglé l’organisation des provinces, reçoit encore le sur- nom d’Auguste pour l’honorer on donne ce nom 311 mois sextilis. JI préside une conférence i Narbonne et fait opérer le dénombrement des trois divisions des Gaules conquises par son père. G uerre de M. Crauus contre les Bastarnes les Mœsieos et d’autres nations.
SOMMAIRE. — Guerre de M. Crassus contre les Thraces et de César contre les Espagnols. — Soumission des Salanses, peuplade des Alpes.
SOMMAIRE. – Conquête de la Rhétie par Ti. Néron et Drusus, beaux-fils de César. – Mort d’Agrippa, son gendre. — Dénombrement fait par Drusus.
SOMMAIRE. — Les peuplades de la Germanie, situées sur les deux rives du Rhin, sont attaquées par Drusus. – Le soulèvement général causé dans la Gaule par le dénombrement est apaisé. — Un autel est consacré à César, au confluent de la Saône du Rhône. – C. Julius Vercundar, Éduen des bords du Doubs, en est créé pontife.
SOMMAIRE. — Les Thraces sont domptés par C. Pison, les Chérusques, les Teuctères, les Cattes et d’autres peuplades germaines d’au delà de Rhin, sont soumis par Drusus. — Mort d’Octavie. sœur d’Auguste, Elle avait perdu auparavant son fils Marcellus, dont un théâtre et un portique rappellent la mémoire et portent le nom, comme s’il en avait fait la dédicace.
SOMMAIRE. — Guerre de Drusus contre les peuplades transrhénanes. Dans cette guerre se distinguent au premier rang Senectius et Anectius, tribuns militaires de la nation des Nerviens. — Néron, frère de Drusus, réduit les Dalmates et les Pannoniens. La paix est conclue avec les Parthes, et leur roi rend les étendards qui avaient été enlevés à Crassus et ensuite à Antonius.
SOMMAIRE. — Guerre de Drusus contre les peuplades transrhéanes de la Germanie. — Le général meurt an bout de trente jours, d’une fracture de la cuisse, suite d’une chute de cheval. Néron, son frère, qui s’est hâté d’accourir à la nouvelle de son malheureux accident, transporte son corps à Rome, où il est déposé dans le tombeau de Jules César. Son éloge est prononcé par César Auguste, son beau-père, et de nombreux honneurs lui sont rendus à ses funérailles.